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Forme clinique de la maladie d’Alzheimer : le rôle des dents et des gencives.

Quand on consulte la bibliographie internationale, on est frappé par l’étendue et la qualité des publications concernant les dents en provenance des chercheurs de l’Extrême-Orient. Toutes ces publications sont écrites en anglais, langue internationale de la Science. La majorité d’entre elles sont le fruit d’un effort collectif des enseignants des Facultés de chirurgie – dentaire ; d’autres de différents départements ou services de Facultés de Médecine.
Quoiqu’il en soit ces publications proviennent essentiellement du Japon, pionnier dans la recherche dentaire, de la Chine et de la Corée.
La publication possède une dernière ligne appelée : « mots clés » (Key Words) il suffit que le terme : TEETH = DENTS apparaisse pour qu’il agisse comme un repoussoir pour les médecins de l’Occident.

Pensez donc, les dents seraient à l’origine d’une forme clinique de la maladie d’Alzheimer : « voyons, voyons… ce n’est pas sérieux » clameront les bien-pensants !

C’est ainsi que des publications du plus grand intérêt , concernant la genèse et l’entretien concernant la maladie d’ALZHEIMER et la démence sénile sont restées inaperçues et par là non lues par les médecins de l’Occident.

Elles soulignent l’importance extrême de la sensibilité tactile dentaire.

Pour faire simple...
l’absence de dents non remplacées, le déséquilibre de l’information tactile dentaire entre les côtés droits et gauche de votre mâchoire sont à l’origine de la dégénérescence des neurones de la mémoire et de l’orientation spatiale.

Alzheimer et les dents

Il est aisé de comprendre que le passionné de neurosciences que je suis, ayant consacré 5O ans de sa vie à la sensibilité tactile des dents ait pu dévorer avec passion tous ces articles. Je lis l’anglais médical comme le français. Ce n’est pas la seule cause.

Le déchaussement des dents (parodontolyse) est également une cause essentielle de la maladie d’ALZHEIMER. Des médecins de laboratoire ont découvert dans les gencives enflammées des malades atteints de déchaussement des dents des spirochètes, cousins germains du tréponème de la syphilis. Rassurez vous, ceux là ne donnent pas la syphilis, non, ils vont, par voie sanguine et par voie nerveuse (le nerf trijumeau : nerf des dents) envoyer des informations dans l’hippocampe, siège de la mémoire, détruire lentement mais surement tous les neurones de la mémoire et de l’orientation spatiale.

La conclusion de ce préambule : à l’heure actuelle, il n’y a pas de traitement de la maladie d’ALZHEIMER, mais un espoir sérieux s’ouvre devant nous.

L’hygiène bucco-dentaire et une occlusion dentaire parfaite !

il y a une PRÉVENTION de celle ci : aussi stupéfiante, en première analyse, j’en conviens avec vous, mais c’est la réalité. Le chirurgien–dentiste français du XXIème siècle a une responsabilité écrasante dans l’équilibre des informations tactiles en provenance des dents, les patients eux doivent impérativement remplacer leurs dents manquantes, quant à la Sécurité Sociale, elle doit valoriser de façon significative le tarif des soins dentaires pour éviter au maximum les extractions et revaloriser d’urgence le traitement des gencives qui à l’heure actuelle est quasi inexistant.

Je compte vivement sur les lecteurs de ce site et les réactions au BLOG pour diffuser, via les réseaux sociaux cette excellente nouvelle : une hygiène bucco-dentaire parfaite et une occlusion dentaire de qualité peuvent prévenir une forme clinique de la maladie d’Alzheimer et de la démence sénile.

Le Professeur Hartmann écrit :

 Il est possible de prévenir des formes cliniques de la maladie d’ALZHEIMER
Je compte sur vous et vous en remercie d’avance.

podcast tmd-dentalmedical

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tmd-dentalmedical_ep004_Maladie_Alzheimer_role_dents_gencives

10 Comments

  1. Merci, c’est en effet à la fois interessant et très étonnant. La médecine occidentale, c’est maintenant établit, soigne trop souvent le symptome et moins la cause profonde. Merci en tout cas tout cela est fort interessant.

  2. A Alain et à Vesa,
    Comme je l’ai écrit dans le préambule concernant la maladie d’Alzheimer et la démence sénile, le scepticisme, que je qualifierai d’ancestral, concernant le pouvoir pathogène des dents semble ancré dans la conscience de la médecine occidentale et en France, en particulier.
    Nous allons modestement mais de manière continue mettre en ligne dans ce BLOG les traductions que j’ai effectuées des chercheurs de l’Extrême Orient .
    Informez votre dentiste que, chez la personne âgée en particulier, (les Japonais l’ont prouvé chez le rat et Vous et moi, c’est la même chose !) un plombage un peu trop haut d’un côté dans la bouche de son patient finira par détruire dans son cerveau des neurones de la mémoire et de l’orientation spatiale !
    Faites en sorte que ça se sache !!!!!
    Bien à vous.

  3. Je pense que vous aller compléter le sujet, mais si vraiment ce que vous annoncez est une prévention, il est pure folie que personne ne s’y interesse, d’autant que cela ferait travailler bien plus les dentistes et autres odonto parodonto…

  4. Parce que la médecine occidentale ne veut pas admettre le rôle de la sensibilité tactile dentaire dans la genèse et l’entretien de différentes pathologies comme la fibromyalgie (dite de cause inconnue), le syndrome de fatigue chronique (dit de cause inconnue) et maintenant la maladie d’ALZHEIMER et la démence sénile. C’est désolant , mais c’est ainsi.

  5. Bonsoir, pourquoi personne ne parle de cela ? Pourquoi, vu l’enjeu, aucun écho dans les médias pourtant si friands de « révélations » ?

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